Saint-Joseph Rouge « Rue des Poulies » magnum 2021

Présentation du vigneron

Nous sommes les petits nouveaux, fraîchement installés dans la vallée du Rhône. En réalité, nous avons travaillé pour des domaines locaux depuis 2011, mais l’idée de monter notre propre domaine a fait son chemin pour devenir réalité en 2016. Nelly FRANCE venant de Bretagne et Arnaud DE BOEL de Belgique, nous n’avons malheureusement pas hérité de vignoble, et il nous faut donc tout créer de zéro. Vous nous entendrez ainsi beaucoup parler de plantation, avec toutes les contraintes qui vont avec, notamment la mise à l’épreuve de notre patience… Heureusement, nous avons tout de même trouvé des parcelles de vieilles vignes. Depuis lors, nous avons crée notre famille avec Augustin et Margot De Boel-France. Notre domaine est situé à Lemps, en Rhône septentrional, entre Lyon et Avignon. Nous avons des vignes en Saint Joseph, Cornas, Collines Rhodaniennes, Côtes du Rhône Villages Massif d’Uchaux et Sainte Cécile, ainsi qu’en Côtes du Rhône.nVous découvrirez aussi bien vite que nous sommes de grands gourmands, et que nous adorons les anecdotes de l’histoire de la gastronomie. Nous avons hâte de vous faire découvrir nos vins et de vous accueillir sur nos terres. Nelly, Arnaud, Augustin et Margot De Boel France

‘Rue des poulies’ est notre toute première cuvée. Cette syrah de Saint Joseph a fait sa sortie sur le millésime 2016 en octobre 2018. Nous l’avons attendu avec tant d’impatience! Nous sommes partisans de faire des vins qui montre des complexités de fruits, des volumes et des souplesses en bouche intéressantes, sur des trames pourvues de belles fraîcheurs. On aime le fruit délicat de Rue des poulies, sa minéralité, sa souplesse et sa complexité!Pourquoi ‘Rue des poulies’? C’était le nom de la rue qui abrita le premier restaurant français en 1765, aujourd’hui renommée Rue du Louvre. Sur l’étiquette, le plan de Turgot qui date de la même époque nous montre le Louvre et cette rue surlignée au vert juste derrière. Dû au déclin de l’aristocratie, ça n’est qu’après la révolution française que les restaurants vont réellement se développer, les cuisiniers étant avant cela au service des aristocrates qui pouvaient s’enorgueillir de régaler leurs convives.